Comment le côté gouvernance de l'ESG devient plus complexe et critique dans le monde instable d'aujourd'hui.

Les crises de ces deux dernières années ont démontré de manière concrète comment les questions sociales peuvent affecter les entreprises, en commençant par le COVID-19 et en passant par le conflit actuel en Ukraine. Les entreprises ont dû prendre en compte les impacts sociaux du confinement et trouver des moyens d'équilibrer la santé des employés et du public avec la continuité des activités. Plus récemment, le conflit en Ukraine a confronté les entreprises à des décisions politiques, économiques et sociales rapides et cruciales. Il a mis en évidence l'importance d'avoir un objectif, des valeurs et des principes sociaux clairs en temps de crise.

Face à cette instabilité croissante qui caractérise notre monde, de nombreuses entreprises ne se posent plus de questions sur les raisons d’implémenter une stratégie ESG ni sur ses avantages potentiels. En effet, appliquer une politique ESG ne fait plus partie du domaine de l’optionnel mais plutôt une orientation stratégique incontournable pour les leaders d’aujourd’hui.

Avec l'ESG, le défi ne consiste plus à déterminer pourquoi le changement est important ou quel changement est nécessaire… Aujourd'hui, il s'agit plutôt de déterminer comment les entreprises doivent travailler et évoluer pour atteindre leurs objectifs ESG. D'après Jane Lawrie, Global Head of Corporate Affairs de KPMG, le comment est soutenu par l'un des éléments les plus critiques - et les plus négligés - de l'ESG : la gouvernance. La bonne gouvernance est à l'origine des bonnes décisions, mais à mesure que les questions environnementales et sociales gagnent en importance, l'élément de gouvernance devient de plus en plus crucial...

Pour en savoir plus, consultez l'article complet écrit par Jane Lawrie, Leadership et Global Head of Corporate Affairs de KPMG (article en anglais)

Si l'infrastructure d'entreprise adéquate n'est pas en place, il est évident que les décisions stratégiques liées aux questions environnementales et sociales puissent être affectées. » - Jane Lawrie, Leadership et Global Head of Corporate Affairs de KPMG