L'intégration, chez KPMG, un bon équilibre entre confiance et challenge

L'intégration, chez KPMG

Article paru sur comptaonline.com - Septembre 2014

Article paru sur comptaonline.com - Septembre 2014

Erwan Joy, ancien sportif de haut niveau et titulaire d'un master Contrôle Comptabilité Audit, a rejoint KPMG au poste de junior expertise-comptable pour le marché des PME, PMI et Entreprises Familiales, il y a un an. Il revient, avec sincérité, sur son "intégration" au sein de l'entreprise.

Entre expériences initiatiques, solidarité de ses pairs et supérieurs et parcours d'intégration organisé par les RH, ce jeune homme de 25 ans s'est rapidement senti comme un poisson dans l'eau chez KPMG. Entretien.

Bonjour Erwan. Pourquoi avez-vous choisi de postuler chez KPMG, à l'issue de vos études?

Erwan Joy : J'avais eu l'occasion de découvrir KPMG pendant mes études, lors de stages de master I et II au bureau de Nantes. Je m'y étais senti à l'aise, le travail était passionnant et l'ambiance excellente. J'ai perçu tout de suite qu'il y avait une vraie démarche pour faire grandir les talents chez KPMG. Ca a donc été mon choix numéro 1 quand, après mon diplôme, j'ai cherché du travail. J'ai été embauché à Paris en octobre 2013.

Qu'est-ce qui change, quand on a été stagiaire chez KPMG et qu'on en devient salarié?

Erwan Joy : C'est beaucoup de fierté, d'abord, d'avoir décroché un emploi dans le secteur de son choix et dans l'entreprise qu'on visait. C'est aussi pas mal de nouveautés : pour moi, arriver dans les bureaux de Paris, était un événement en soi, il faut dire que La Défense, c'est assez vertigineux! Signer son premier CDI chez KPMG, c'est un peu effrayant mais surtout très excitant. Dès que j'ai su que j'étais recruté, j'étais impatient de commencer.

Vous souvenez-vous de votre premier jour chez KPMG?

Erwan Joy : Trés bien! Nous étions plusieurs nouveaux à patienter dans le grand hall. Une personne des Ressources Humaines est venue nous chercher pour nous conduire dans nos open spaces. Tout était préparé pour notre arrivée : les postes informatiques prêts, nos places attribuées, les équipes disponibles pour nous accueillir. C'est très rassurant et très encourageant de se sentir ainsi attendus, et d'avoir de si bonnes conditions pour débuter. Dès l'après-midi, nous avons commencé à travailler.

Vous vous êtes senti tout de suite plongé dans le grand bain?

Erwan Joy : Oui, on m'a donné d'emblée un dossier complexe, un cas comme je n'en avais jamais vu à l'école. J'ai compris qu'on me faisait confiance comme à un vrai professionnel. Que ce qui compterait, ce serait mes compétences. Ca a tout de suite suscité en moi le désir de montrer mes capacités. Ce qui est fort, c'est que tout en me témoignant cette confiance, on m'a aussi fait sentir que je pouvais compter sur les autres.

Vous avez immédiatement perçu de la solidarité ?

Erwan Joy : chez KPMG, la solidarité n'est pas un vain mot. C'est très palpable, très concret. Ca va avec la générosité des personnes qui prennent le temps de vous expliquer, de partager leur expérience, de vous aider quand vous butez sur une difficulté. La coopération est fondamentalement inscrite dans les façons de travailler chez KPMG.

Autonomie et solidarité, confiance et challenge, diriez-vous que ce sont les équilibres qui permettent de se dépasser?

Erwan Joy : Exactement. Je vais vous donner un exemple : la première fois que je suis allé chez un client. C'était au bout d'une semaine. J'étais au bureau le matin Ma manager m'a appelé de chez le client. Elle avait besoin que je la rejoigne aussi vite que possible. Quand je suis arrivé, elle m'a présenté son client en témoignant de la confiance qu'elle me faisait, et quelques minutes plus tard, elle me le « confiait » littéralement. Je suis resté seul avec lui et parce que j'ai senti que j'avais ma place à ce moment, j'ai essayé de me comporter en vrai pro et tout s'est parfaitement déroulé. Pour moi, cet exemple est emblématique de l'esprit dans lequel on intègre les nouveaux venus chez KPMG : on vous met dans les meilleures conditions matérielles et morales pour que vous puissiez par vous-même faire vos preuves rapidement.

Avez-vous eu aussi une sorte de "séminaire d'intégration" en bon et due forme à votre arrivée chez KPMG?

Erwan Joy : Oui, après un mois sur le terrain, nous avons été conviés à des journées d'intégration collectives. J'ai trouvé intéressant que ces journées soient organisées après quelques semaines de "terrain" : ce qui y était dit sonnait plus concret, on se sentait vraiment concernés. J'ai beaucoup apprécié ces journées d'intégration : nous avons eu des informations complètes sur l'entreprise, son histoire, son fonctionnement, ses avantages (le plan d'épargne salarié, les opportunités de progression...). Ca a aussi été l'occasion de faire mieux connaissance avec les autres, notamment au travers d'ateliers très conviviaux. J'ai pris conscience que nous venions d'horizons différents et que cela allait être très riche pour la suite.

Encore un mois après, nous avons eu une demi-journée d'accueil avec, entre autre le Président du Cabinet et le Directeur Général. J'avoue que j'ai été épaté par cette journée, parce que, bien sûr, on nous a présenté des chiffres, des objectifs, mais surtout, parce que les dirigeant-es de l'entreprise, dont son Président, sont venus se présenter à nous... en qualité d'hommes! Je veux dire qu'au-delà de la fonction et des discours sur l'entreprise, ils ont parlé vrai, d'eux-mêmes, de leur parcours, de leur vision. J'ai vu des leaders charismatiques, impressionnants, inspirants, mais aussi humains et accessibles. D'ailleurs, quelques mois après, j'ai pu revoir revu le Directeur Général au tournoi de rugby, en toute simplicité.

Est-ce à dire que votre intégration s'est aussi faite via l'équipe de rugby de KPMG?

Erwan Joy : En quelque sorte. Les gens de mon bureau m'ont rapidement parlé de l'équipe et du tournoi qui se préparait. J'étais ravi de pouvoir continuer à faire du sport tout en travaillant. Et puis, je savais que ce serait une occasion de faire mieux connaissance avec mes collègues, dans un contexte détendu. D'ailleurs, je trouve que KPMG a vraiment des valeurs très proches du sport : faire progresser l'équipe pour aller ensemble le plus haut possible.

Après une année chez KPMG, quel bilan tirez-vous de votre "intégration" dans l'entreprise?

Erwan Joy : Un bilan très positif. Je suis conforté dans mon impression d'avoir fait le bon choix, d'être là où je peux être le mieux aujourd'hui. J'ai aussi énormément appris au cours de l'année qui vient de s'écouler et je me sens très stimulé car il y a encore beaucoup à apprendre. J'ai envie de progresser au sein de KPMG et je sais que je suis dans une entreprise qui a vraiment cette préoccupation de m'offrir des perspectives.

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